dimanche 24 janvier 2010

Hans SEILER















 Condat sur Vézère

Né à Neuchâtel, en Suisse, en 1907, Hans Seiler passe son enfance à Berne où son père est médecin. En 1924, sur les conseils du conservateur du Musée de Berne, qui a remarqué ses carnets de dessins, il se rend à l’école des Beaux-Arts de Lyon où il suit d’abord les cours de sculpture. Il travaille avec une élève de Rodin, Madame Bardet, qui lui conseille d’aller à Paris, se consacrer à la peinture. En 1927, il entre à l’Académie Ranson, où il suit l’enseignement de Bissière jusqu’en 1930. Il se lie également à Gromaire, qui lui aussi, restera son ami toute sa vie. Il travaille ensuite en solitaire, surtout pendant les années de la guerre.



















La maison de La Roque Gageac (Dordogne).




















Hans Seiler dans son atelier, 1985

En 1934, il se fixe avec sa femme et sa fille à Chennevières-sur-Marne, et en 1939 achète une maison en Périgord, à la Roque-Gageac, près de Sarlat où il passera de longues périodes tout au long de sa vie. Il voyage dès les années 1930 en Bretagne et y reviendra souvent, toujours dans le Finistère, et ira aussi sur la côte normande. Son amour des grands ciels lui fera aimer aussi la Hollande, et à partir de 1978, il ira tous les automnes en Espagne. Et tous ces lieux inspireront les thèmes – paysages et intérieurs – qui feront son œuvre...
(Base Article Wiki)














L'atelier à La Roque-Gageac

Actuellement au musée des Beaux-Arts de Bordeaux
Pour plus d'oeuvres, cliquer sur le titre (même si les reproductions ne sont pas géniales, c'est bien supérieur en direct, les ciels notamment sont superbes). 

2 commentaires:

  1. Merci a LO Merci pour l'information sur l'expo SEILER et merci pour le lien avec le site web et la remarque sur les ciels....Je fais de mon mieux pour que la peinture de mon pere soit redécouverte dans un époque qui est loin des années ou les derives observées depuis les annés 80 ne faisaient pas la loi! Merci si cela amène beaucoup de personnes au musée de Bx et si elles sont sensibles qu'elles essaient de voir plus loin
    Katy Drieu-Seiler

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  2. Je ne prends connaissance de votre message que ce soir, en refaisant un petit tour sur un blog abandonné...
    Oui, j'ai beaucoup aimé les peintures de votre père, je les ai aussi relevées sur ce blog parce qu'elles évoquaient la Dordogne.
    Amitiés
    laupich@hotmail.fr

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